Actu sociale, BTHE, Conditions de travail

Les sections Sud Santé Solidaires Korian soutiennent les mobilisations nationales qui ne font que commencer et y apporteront leurs meilleurs soutiens

Notre offre cœur ne vaut que pour les bonnes et les justes causes !

19 avril, 1er mai, 5 mai, 15 mai et après :
Reprenons notre avenir et nos droits !

 

Infos luttes / gréves – manif – mobilisations – rassemblement : trouvez ICI les vôtres !

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Retraités, EHPAD, Hôpitaux, Santé, Social, services publics, étudiants, éducation, … et bien sûr cheminots : Nous sommes toutes et tous dans le même bateau d’un système qui prend l’eau à mesure que l’argent règne en maitre pour prendre le large et pour couler dans son sillage l’avenir, et la vie à tout âge.

En plus des souffrances et du délabrement général, quel est le point commun central de toutes ces luttes ?

C’est que les réformes et les restructurations sont toutes motivées par des intérêts économiques qui ne servent ni la qualité des services, ni les humains qui les produisent ou qui en bénéficient. Bien au contraire ! Réformes et restructurations dégradent les conditions de travail autant que les services. Ensembles, elles précarisent et peu à peu détruisent.

La dégradation des conditions de travail des personnels soignants, va de pair avec la dégradation de la prise en soin des malades ou des personnes âgées, tous souffrent des mêmes maux, alors que les profits progressent inlassablement sur leur dos.

La réforme SNCF nuit gravement aux cheminots mais autant au service public et aux usagers qui au final paieront plus cher à mesure que la SNCF ferment ces petites gares moins rentables ou les remplacent par des cars. Tout cela alors que c’est l’argent public (nos impôts) qui a financé la construction du réseau.

Social et éducation sont sur le même tableau, moins de qualité, plus de précarité, plus de souffrance des professionnels alors qu’en parallèles les coups de la vie augmentent.

Bien se soigner, bien étudier, bien se former, bien voyager serait un luxe réserver aux élites. Nous disons non ! Et c’est pourquoi nous convergerons comme autant de grains de sables pour stopper l’absurdité destructrice de cette machinerie.

Si vous aussi vous soucier de votre avenir, de celui de vos enfants et de vos ainés, alors rejoignez nous et vous aussi convergez !

1 +1 +1 + ……………. = des millions !
Et ensemble nous sommes bien plus efficace et bien plus forts que les quelques dirigeants qui vous envoient dans le mur et nous pesons bien plus lourds que tout leur argent.
Les solutions ne manquent pas mais seul votre engagement manquera si vous ne soutenez pas, si vous ne convergez pas.

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Pour donner votre avis, pour nous trouver : cliquez nous dessus https://wordpress.com/page/korian.sudsantesociaux.org/164153

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Actu sociale

Un palmarès 2014 des hôpitaux et cliniques !

Après un an d’enquêtes, le Point.fr publie son classement des meilleurs centres hospitaliers en France.

Pour cette nouvelle édition du palmarès des hôpitaux et des cliniques se distinguent de nouveaux « vainqueurs »: le centre hospitalier universitaire (CHU) de Toulouse, les hôpitaux non universitaires et 6 cliniques privées à but commercial qui font leur entrée dans le classement final. Et les « perdants » : le CHU de Lille, l’hôpital Saint-Louis à Paris et 6 établissements privés.

Au 1er rang du tableau d’honneur des hôpitaux figure, pour la 8ème fois en 17 ans, le CHU de Toulouse, qui l’an dernier occupait la 2ème place. Il détrône ainsi le CHU de Lille classé 2ème cette année. L’an passé, parmi les 50 hôpitaux figurant en tête,11 étaient des hôpitaux généraux ou mutualistes à but non lucratif participant au service public (c’est-à-dire n’ayant pas le statut de CHU, l’élite des établissements chargée de former tous les médecins de France),12 le sont cette année, dont le centre hospitalier du Mans qui fait son entrée à la 50ème place. L’hôpital Saint-Louis à Paris, qui était classé 46ème en 2013, ne figure plus parmi les 50 hôpitaux de ce classement général.

Pour lire la suite : http://www.lepoint.fr/sante/exclusif-le-palmares-2014-des-hopitaux-et-cliniques-20-08-2014-1855348_40.php#xtor=CS3-190

Actu sociale

Prendre sa santé en main !

Cet appel pour inviter le lecteur à nous aider à augmenter encore la collaboration entre les travailleuses, travailleurs et usagers de la santé du privé lucratif : Parce qu’en communiquant et échangeant sur les problèmes individuels du quotidien on trouve la base de solutions collectives. Au contraire, rester seul dans son coin avec ses problèmes, c’est s’empêcher d’en sortir en augmentant pour d’autre le risque d’avoir les mêmes.

Parlez-en, relayez nous, rassembons-nous, contactez-nous, et à votre santé !

Dans un monde idéal, les relations entre les salariés et les patrons, entre les clients et les entreprises pourraient se contenter du bon sens.

Mais dans le monde réel, trop souvent pourtant, le droit n’est pas appliqué parce que le salarié ne le connait pas, ou alors bien mal, et que l’employeur, qui gagne souvent plus à faire ainsi que ce que peuvent coûter les rares recours en justice, en profite.

Côté client, ça fait longtemps qu’il n’est plus roi, mais il est souvent désarmé devant sa dépendance de plus en plus contractuelle à un service, même lorsque celui-ci ne lui donne pas satisfaction.

Pour les premiers comme pour les seconds, les pouvoirs publiques sont généralement très attentistes mais ne cessent d’être complaisants vis-à-vis des patrons.

Parce que le monde du travail, et l’économie ou la finance qui gouvernent le travail ne sont pas au service d’une amélioration de la qualité de vie des uns ou des autres mais que ce sont d’abord au contraire les uns ou les autres, travailleurs et consommateurs, qui se trouvent, consciemment ou non, au service de l’économie et de la finance, il nous faut donc des syndicats forts et indépendants de tout pouvoir, une coopération interprofessionnelle, des militants et des citoyens décidés à ne jamais accepter l’inacceptable, des représentants du personnel consciencieux et vigilants, une mobilisation collective chaque fois que nécessaire et un apprentissage par tous les salariés des moyens qui garantissent leurs droits.

Tout ce qui ne se résout pas collectivement au présent est voué à une aggravation future. C’est pourquoi les salariés, les clients, les Citoyens, au même titre que tout responsable publique, ont collectivement un intérêt, sinon un devoir, à agir.

Des acquis aussi fondamentaux que les congés payés ou la sécurité sociale ne sont pas nés du bon sens général mais ont été obtenus par d’importantes luttes revendicatrices des ouvriers (pour les CP) et par l’action du Conseil national de la Résistance en faveur des populations les plus fragiles (pour la sécurité social).

Mais si les acquis les plus fondamentaux ne sont pourtant pas immuables pour autant (à voir comment la privatisation de la protection sociale pousse de plus en plus), si les autres acquis, régulièrement attaqués, sont menacés, et alors que même l’application des droits ordinaires nécessite souvent de les rappeler ou de se battre pour, les plus naïfs peuvent-ils vraiment encore espérer que le bon sens seul protège travailleur et consommateur ou qu’il permette de nouveaux progrès sociaux?

En 2014, peut-on encore se contenter de regarder, d’attendre et de subir?

Bien sûr que non ! Chacun doit donc s’informer, se former, résister et progresser ensemble.

C’est pourquoi, avec les syndicats de transformation sociale et de lutte que sont SUD et Solidaires nous fédérons autour de cet espace toutes celles et ceux qui se sentent concerné-e-s par les évolutions de la santé du privé lucratif, celle des hôpitaux, des cliniques, des EHPAD, en développant ailleurs le lien interprofessionnel et intersyndical.

Notre analyse est aussi et surtout un petit peu de toutes vos expériences réunies, c’est pourquoi nous sommes riches, d’une approche collaborative (témoignages, documents, échanges d’information etc.) qui nous aide à cerner les problématiques et les causes communes et bien sûr à nous rassembler.

Voir ici pour les problématiques recensées dans des établissements de santé du privé lucratif.