BTHE, CHSCT, Conditions de travail

Un Collectif est né pour assurer Justice et Protection au Personnel KORIAN (Just & Pro PK )

La famille (la vraie) s’agrandit ! Car on n’en peut plus de ces poignées de personnes qui voudraient vivre au dessus de NOS moyens et qui nous en font payer le prix.
C’est pourquoi on est très fier-e de vous présenter le nouveau bébé syndical, frangin du Collectif Sud Santé Sociaux des Salarié-es Korian :

Le bien vaillant et bienveillant Collectif Just&Pro PK
(abréviation de Justice & Protection pour le Personnel KORIAN).

La devise du Collectif Just & Pro PK :

Si l’institution ou certain-es de ses managers nous cassent ou nous abiment,
Si des couches de déni par dessus nous détruisent,
Toutes celles et ceux qui laissent faire ou tentent d’en cacher les traces ou les débris
sont soit des criminels soit leurs complices.  

La vocation du Collectif Just & Pro PK :
:
– Protéger toutes et tous les salarié-es malmené-es, pressurisé-es, maltraité-es, abimé-es, discriminé-es et ou harcelé-es.

La methode du Collectif  Just & Pro PK :
:
– Empêcher de nuire, dénoncer, et faire condamner, les responsables et leurs complices !

Y en a marre d’être victimes,
y en a marre de voir sévir celles et ceux qui détruisent et font souffrir.

Si on ne les arrêtait pas qui le ferait ?

Pour rejoindre le Collectif et pour agir avec  :


Actu sociale, BTHE, Conditions de travail

Répression, discrimination, Maltraitance institutionnelle, … quand c’est non, c’est NON !

prendre soin VS limonger

Les sections SUD KORIAN apportent et apporteront leur soutien actif aux actions en cours et se joignent aux initiatives de la CGT KORIAN :

  • Soutiens à Fatima de Korian Brune, victime d’un simulacre de procédure en vue d’un licenciement trop volontariste : Venez en nombre au rassemblement prévu le 7 avril 2017 à 9h30 devant l’établissement Korian Brune 117, boulevard Brune 75014 Paris.
  • Soutiens à aux salariés de Korian les Parents qui pour avoir dénoncé la maltraitance institutionnelle en font les frais deux fois plus.
  • Soutien par pour les moyens possibles, contre toute forme de discrimination ou  harcèlement : actions de sensibilisation, presse, tractage, gréve, etc.
  • Soutien à la pétition en ligne contre les pressions, répressions et / ou manipulations contre des salarié-es ou leurs représentant-es dans le groupe Korian, à signer et partager : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeI0hia6OVUlMwMDiqEo3dciUQI-7CThuXO_bvbyOVomdnSSA/viewform?c=0&w=1
  • Nous exigeons pour l’ensemble des salarié-es du groupe Korian d’avoir des pratiques à la hauteur du discours (bientraitance, transparence, empathie, etc..) y compris dans les Relations Sociales.
  • Nous rappelons l’appel nationale à la gréve et à l’action du 7 avril 2017 et invitons le personnel Korian à y prendre part de toutes les manières possibles.

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BTHE, Conditions de travail, droit du travail, Métiers, témoignage

Pression, discrimination, menace, sanction-harcelante : Un guide pour se défendre

Vous vous sentez harcelé-e par des pressions et ou des menaces répétés, par des répétitions de procédures disciplinaires injustifiées et ciblées contre vous ? Alors ce guide est fait pour vous, pour vous apprendre à vous défendre et pour nous aider à vous aider (partager le avec tous vos collégues concerné-es).

Exemple typique de situation :

Vous avez un jour signalé un dysfonctionnement ou une maltraitance relevant de la responsabilité de votre direction mais votre direction vous l’a reproché. En représailles et pour vous dissuader de recommencer, elle, ou un-e autre, vous met régulièrement sous pression * dans votre travail et ou en dehors.

Pour celles et ceux qui subissent de telles traitements, il y a plusieurs orientations  et nous soutenons ici la 3éme :

  • Se résigner,  ne plus rien dire, au risque de devenir complice de dysfonctionnement ou de maltraitance
  • S’épuiser, souffrir, craquer, se faire virer ou claquer la porte.
  • Résister, se défendre, alerter collectivement, faire entendre raison, virer toute forme d’oppression et réhabiliter la liberté d’expression et la bientraitance dignes de ce nom.   

Pour vous aider à Résister, à vous défendre, à alerter collectivement, à faire entendre raison, à virer toute forme d’oppression et à réhabiliter la liberté d’expression et à la bientraitance aidez nous à vous aider et ensemble soyons plus nombreux à pousser dans le même sens. 

Toute sanction disciplinaire injustifiée doit être contestée par écrit.
Toute forme de suspicion de discrimination ou harcèlement doit être signalée par écrit.

Pour pouvoir vous accompagner et vous aider dans ces démarches, envoyez-nous tous les écrits et les réponses déjà reçus jusque là (ceux de la direction et les vôtres) : les notifications de sanction, les compte rendu d’entretien préalable, les contestations écrites de sanction, les alerte écrites à la direction, etc.

Tous ces documents sont à nous adresser uniquement par mail à cette adresse
Pour chaque document, il est indispensable de préciser le nom de votre établissement dans le titre du mail ! Sinon nous ne pourrons pas vous aider.

process signalement

Pour scanner facilement vos document avec votre téléphone, il existe plein d’appli gratuite :
– Pour téléphones Android
– Pour téléphone Iphone  (chercher « scanner »)

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Actu sociale, BTHE, CHSCT, Conditions de travail, droit du travail, témoignage

Discrimination et « Dialogue sociale »

Ou comme un syndrome patronale du « fais ce que je dis et non ce que je fais », et sinon… Gare toi !

Nous exigeons, dans toutes les entreprises de tous les secteurs d’activité, partout et tout le temps, que la discrimination soit combattue avec une fermeté sans faille et surtout avec la même volonté et la même intransigeance qu’est combattue l’escroquerie ou la fraude.

Nous exigeons que tout dirigeant ou décideur qui aurait connaissance de tels faits mais qui ne les dénoncerait pas ou n’agirait pas pour les faire cesser soit considéré comme un complice à part entière avec tout la fermeté que cela impose.

Nous exigeons la même fermeté et la même intransigeance pour toute personne se livrant à de la répression ou de l’intimidation contre un-e salarié-e qui dénoncerait de tels agissements.

Pour tout Salarié-e, est intolérable et révoltante l’idée de pouvoir se retrouver en procédure disciplinaire, mis-e à pied, ou licencié-e, pour avoir osé exprimer un refus de subir une discrimination ou un contexte de harcèlement discriminatoire, pour avoir prévenu sa hiérarchie ou direction au sujet de problémes graves, ou pour avoir envisagé de faire valoir ses droits.

Il est inacceptable que des informations erronées ou des accusations mensongères puissent servir à une direction d’opportunité à sanction contre des salarié-é exprimant des problémes que la direction concernée ne voudrait pas reconnaitre ni entendre.

Trop de salarié-e-s malheureusement connaissent ça et « Ca suffit ces méthodes managériales d’un autre temps !!! » (pour reprendre les termes d’un des nombreux commentaires posté récemment).

Les lecteurs assidus connaissent notre attachement au Droit et à la lutte contre les mauvaises conditions de travail. Sur ce terrain, discrimination et harcèlement comptent parmi les pires conditions de travail. Depuis que ce blog existe, vous êtes des centaines de lecteurs un peu partout en France à nous avoir déjà adressé vos témoignages, documents etc. pour dénoncer des situations anormales et contribuer au recensement des problémes. Force est de constater, que les dénonciations de harcèlements et ou de discriminations sont en nette augmentation et dans certaines entreprises plus que dans d’autres. Beaucoup se trouvent souvent démuni-e-s et désarmé-e-s pour y faire face, les moyens humains étant peu nombreux, les salarié-e-s, y compris dans les instances représentatives, étant souvent mal formé-e-s pour faire face à ce type de problème alors que les méthodes sont de plus en plus rodées voir organisées. Pire, celles et ceux qui alertent ou dénoncent peuvent se retrouver pressurisé-e-s à leur tour ou font l’objet de représailles. L’évolution des remontées est telles que notre capacité à conseiller ou réorienter les personnes en détresses a ralenti au fil des mois.

C’est la raison pour laquelle l’action syndicale évolue elle aussi vers des moyens moins lents, plus collectifs, plus interprofessionnels, plus efficaces et plus combatifs. Il y a un an déjà, nous avions écrit : Le Droit (du travail) n’existe que si on le fait valoir dans lequel beaucoup se sont suffisamment reconnus pour nous aider à évoluer encore et à tisser des liens utiles, car aux grands maux les grands remèdes.
Car nous ne pouvons tolérer que des petits ou grands chefs, que des dirigeants d’entreprises, puissent accepter, laisser faire, cautionner, étouffer, minimiser des situations aussi abjectes.

Nous n’accepterons donc jamais les raccourcis qui consisteraient à ce que des salarié-e-s qui subissent, ou refuses de subir, n’aient d’autres choix que d’accepter l’inacceptable, de démissionner ou de se faire virer.

Sur des sujets et des procédés aussi graves, SUD Santé Sociaux et Solidaires n’ont jamais transigé et ne transigerons jamais car rien ni personne ne saurait jamais justifier ou excuser de telles pratiques.

Les salariés n’ont pas à faire les frais des défauts de solution de leur employeur ou de leur entreprise, ni à être réprimés en conséquence de ces mêmes défauts, ni à subir de discrimination d’aucune sorte.

Notre ténacité n’a d’égal que les abus d’autorité profitables irresponsables qui causent souffrance sur souffrance, qui déshumanisent la relation sociale et le soin et qui créent inexorablement du conflit au lieu de progrès et d’améliorations.

L’augmentation des risques psychosociaux et autres facteurs de conflit social qu’amplifient de telles pratiques ne peuvent produire aucune forme de bientraitance institutionnelle. Les belles paroles et les écritures dont se parent régulièrement le « dialogue sociale » ne doivent priver personne de saines méthodes de travail.

Le syndicat ne peut malheureusement ouvrir les yeux de dirigeants qui ne le veulent pas ou même à défaut d’être plus humain les forcer à être honnête contre leur volonté.

Mais il peut, et même a le devoir, d’alerter les pouvoirs publics sur tout agissement illégal, abusif, et dangereux portant atteinte aux personnes dés lors que les pouvoirs publics ont aussi leur part de responsabilité dans le laisser-faire de tout un tas de dérives sociétales.

 Ce blog permet l’échange et la collaboration entre les salariés de différents établissements ou sociétés. Si vous avez une question, ou une remarque, utilisez le formulaire dans la colonne de droite ou « commentaire » en fin d’article. Et pour trouver le syndicat SUD prés de chez vous, cliquez là

 

Actu sociale, BTHE, Conditions de travail, droit du travail

Harcèlement moral : Un ex-directeur d’EHPAD de l’Aveyron accusé

Le 18 février 2015, le tribunal correctionnel de Rodez jugeait un ancien directeur d’EHPAD du Sud-Aveyron pour des faits de harcèlement moral.

Serge B., ancien directeur d’un EHPAD du sud-Aveyron, comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Rodez pour des faits de harcèlement moral, survenus entre le 1er janvier 2009 et le 13 septembre 2011, envers plusieurs de ses ex-employés.

Changement d’horaires sans préavis, ordres et contre-ordres, tâches ne correspondant pas aux postes, temps de travail diminué pourtant, Serge B. nie formellement tout harcèlement, et ne comprend pas ce qu’il fait là.

A la barre ce jour là, se sont succédé 6 des 13 victimes qui se sont portées partie civile.

L’une d’elle, une ergothérapeute, est restée 3 mois et demi dans l’EHPAD, avant d’être licenciée. Elle raconte devant le tribunal qu’elle avait en charge un petit groupe de personnes, tous les jours de 9 heures à 17 heures, très vulnérables, et ne pouvant en aucun cas être laissées seules. Lorsqu’elle prend ses fonctions, elle a avec elle deux aides-soignantes. Tous les midis, il faut aller chercher les plats et les amener aux résidents, ce dont sont chargées les aides-soignantes, pendant que l’ergothérapeute s’occupe des patients. Quinze jours après sa prise de poste, un des postes d’assistante se trouve supprimé, et puisque l’EHPAD est en sous-effectif, la deuxième est envoyée dans un autre service. La plaignante explique alors qu’elle se retrouve seule avec des patients qu’elle ne peut pas laisser livrés à eux-mêmes, tout en devant s’absenter pour leur amener leur repas. Elle fait part de ce problème à Serge B., qui lui répond qu’elle n’a qu’à «savoir s’organiser». Elle raconte ensuite qu’elle part systématiquement après l’heure normalement prévue, notant ses heures supplémentaires sur sa fiche de paie. Elle explique que Serge B., le lui reproche, elle ne doit pas faire d’heures en plus sans son accord. Elle est finalement licenciée, un licenciement reconnu comme abusif devant les Prud’hommes.

Les autres plaignantes défilent à leur tour, racontent la «pression insupportable», l’une est soupçonnée de vol, l’autre de dormir pendant son travail de nuit, l’une doit «se démerder toute seule», l’autre est «mise au placard».

Tant pour les conseils des parties civiles, pour la défense, ou pour le procureur, les cas de harcèlement sont «toujours délicats à juger». Du côté des parties civiles, Serge B. ne harcèle pas pour le plaisir, mais, «ça va tant que ses employés vont où il veut, sinon il pousse à la démission ou licencie de manière injustifiée. Ses agissements sont répétés, c’est du harcèlement moral, il a un comportement inqualifiable».

Au total, ce sont 130 000 € de dommages et intérêts qui lui sont demandés. Pour le procureur, il s’agit de faits «manifestement d’atteinte aux droits voire à la dignité». Il a requis à l’encontre du prévenu 1 000 € d’amende.

Du côté de la défense, on plaide la relaxe : «Vous ne pouvez pas raisonner en harcèlement de masse sur les seules déclarations de ceux qui l’accusent et qui se sont constitué partie civile», ces derniers étant venu, selon l’avocat, «battre monnaie». Délibéré le 1er avril prochain.

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/19/2051856-l-ex-directeur-d-un-ehpad-accuse-de-harcelement.html

Conditions de travail, droit du travail

Le Droit ( du travail ) n’existe que si on le fait valoir

« Moralisation du capitalisme », « responsabilité patronale », de belle paroles sans aucune garantie d’acte, qui font la part belle à des capitalistes irresponsables ou dénués de morale.

Vous travaillez et vous avez des droits ?
Encore vous faut il le savoir et les connaître.

Il ne sont pas appliqués et vous ne trouvez pas ça normal ?
Alors il vous faudra donc vous en plaindre aux « intéressés » en espérant vous faire entendre.

Vous vous êtes déjà plaint ? Plusieurs fois même.
Ah mais c’est que les capitalistes n’entendent pas toujours bien, leurs oreilles sont très sélectives.

Bon, finalement ils ont fini par vous entendre, (juste avant la crise de nerf), mais au lieu alors d’appliquer le droit ils vous reprochent de vous énerver… Après des mois et des mois ils ont finis, sans excuse, par respecter un droit très amoindri par leur retard. Entre temps, vous vous êtes fatigué, votre santé en a pris un coup, et vous êtes moins motivé, moins performant et moins confiant qu’avant vis à vis d’eux.
Malheureusement, il n’est pas dans la nature du capitaliste de se remettre en question et trop souvent à notre goût il préfère faire porter la responsabilité des conséquences au plaignant. Harceler pour mieux discriminer c’est d’ailleurs souvent la première intention de ce genre de patron car que vous vous incliniez, vous résigniez, ou craquiez, c’est pour eux autant de façon de gagner.

Quelles solutions alors ?

D’abord ne pas tomber dans le piège de la dépréciation. Ces critiques là ne sont qu’un moyen de pression, elles cherchent souvent la corde sensible sans avoir le besoin de raisons objectives. Ne pas non plus céder à la peur ou l’intimidation que recherchent les accumulations tels reproches, sanctions ou autre menace.
Avoir conscience des intentions et des manipulations propre à leur mécanisme aide à y faire face.

Surtout, ne jamais renoncer à son droit ! Ce serait le meilleur encouragement pour eux de généraliser encore plus le procédé, sur vous comme sur d’autres, et on ne peut éthiquement accepter que la démocratie s’arrête à la devanture du lieu où l’on travail.

Au contraire, et chaque fois que l’on est dans son droit, on devrait donc, au moins pour l’ordre moral :

1) Solliciter ou saisir les compétences légitimes :
– l’inspection du travail, le Défenseur des droits (ex Halde), le syndicat, la médecine du travail, les tribunaux, la police, etc.

2) Fuir l’isolement, Communiquer, et s’organiser collectivement
_ Les représentants du personnel, le syndicat, la section syndicale, les collègues, les soutiens extérieurs, des associations, organismes ou presse spécialisées, vos élus locaux, départementaux, régionaux, … et bien sûr les ministres concernés, le président de la République, etc.
_ Le collectif au sens large peut quant à lui décider d’un comité de soutien, d’actions / mobilisations diverses, de gréves, etc.

3) Innover ! Dans un champ où l’essentiel du droit reste encore à conquérir par des moyens à découvrir…

Et après ?

Une bataille juridique potentiellement longue peut s’engager sur un terrain encore imparfait mais où le droit à fait d’énorme progrès ces dernières années et connu des victoires aussi conséquentes qu’exemplaires. Dans cette optique, il vous faut néanmoins consigner le maximum d’éléments concrets, et ce dés les premiers signes de agressivité patronale envers vous.

L’issue à plus court terme pour vous diffèrera notamment selon les formes et l’efficacité solidaire de l’expression et de la manifestation collective en votre faveur.

Peut être vous « perdrez », Peut être vous Gagnerez.
Dans les deux cas, vous Existerez dignement et bien plus qu’en tendant l’autre joue et bien plus que celui qui voudrait vous asservir ou vous domestiquer.
Les procédés abjectes résumés plus haut, auxquels se livrent de plus en plus de dirigeants ne visent la plupart du temps qu’à casser ou à faire partir des salariés dont l’engagement dérange. En procédant ainsi, l’employeur ne réalise souvent pas la prise de conscience durable et la résistance collective qu’il peut ainsi faire émerger malgré lui au sein du personnel, voire au delà. Il ne réalise pas le retour de bâton délétère et la perte qu’il peut en récolter quant à son capital confiance. Et il réalise encore moins, pas plus que ses complices, l’image qu’il peut donner de lui et de son entreprise dés lors qu’un certain nombre voient claire dans son jeu.

Moralité

Au singulier mais surtout au pluriel: Plus on se laisse faire, plus on subit. Mieux on résiste et mieux on vit !

Pour aller plus loin quelques mots d’un militant voisin :

http://vimeo.com/87105007

Et d’autres morceaux choisis du dernier colloque de l’Obeservatoire de la Reprression et de la Discrimination Syndicale dont l’US Solidaires est un des membres fondateurs.