Vous avez aimé l’évolution de vos conditions de travail, de vos salaires, de vos métiers, de vos droits, … dans l’entreprise ? Alors vous devriez adorer la rentrée prochaine et l’année 2018. A moins que chacun, chacune prenne ses responsabilités sans attendre, et tous les syndicats avec.
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La calendrier du gouvernement ce serait : 3 mois d’été pour détruire le code du travail, et les 6 mois qui suivent pour tous le reste ? A moins que.. Avec nous, avec vous, avec l’Union Syndicale Solidaires, et tous les syndicats ou collectifs bien décidés à prendre leurs responsabilités, on inverse enfin la tendance.
Avant les salarié-es avaient des Droits, un contrat de travail, une protection contre le licenciement illégal (sans motif valable), et quelque autres gardes-fou pour interdire et empêcher à un patron de faire n’importe quoi.. Ce n’était pas grand chose, mais c’était mieux que rien.
A présent, en cumulant la loi Macron 1, la loi Macron 2 ( loi Travail ), et la Loi travail 2 (après le forceps des ordonnances Macron), tout est balisé pour que les salariés, à partir de la rentrée de septembre, puis pour 2018, se retrouvent livrés à une voracité patronale sans précédent comme des enfants ligotés au milieu d’une arènes de lions. A moins que…
Mais il n’y a pas que le travail dans la vie, il y a aussi l’argent des riches qui exploitent le travail des pauvres. Y a de quoi en être malade.. D’ailleurs c’est souvent le cas, et c’est sans doute pour ça aussi que le gouvernement ne va pas se contenter de détruire le droit du travail, mais il compte s’attaquer aussi à l’assurance maladie, à l’assurance retraite.. et encore faire le lit d’un libéralisme économique dangeruex et toujours plus dévastateur (sauf pour le portefeuille des plus riches). A moins que…
Personne ne pourra dire « on ne savait pas », car tous les voyants contre ses réformes sont au rouge depuis longtemps et que toutes les sirènes d’alarmes ont été maintes fois tirées. On nous dirige donc tout droit dans le mur et vers la catastrophe annoncée…
A moins que toutes celles et ceux qui n’entendent pas être encore et toujours les dindons de la farce se réveillent !
A moins que toutes celles et ceux qui aiment leurs métiers et qui n’acceptent pas de devenir des machines à fric sans âme et toujours plus précarisés se rassemblent et s’entraident.
A moins que vous décidiez avec nous de reprendre enfin les commandes des vos services, de vos établissements et de l’entreprise pour redonner du sens à une prise en charge à un prendre soin dignes de ce nom !
Tous les métiers sont concernés. Les chefs de services, et les directions de sites aussi deviennent de plus en plus des pions, placés et déplacés pour faire fructifier des profits avant tout le reste. Qui pourrait encore le nier?
Passé la carotte des primes d’objectifs qui peut prétendre que sur les sites, résident-es et salarié-es tirent un quelconque profits des bénéfices engendrés ? Au contraire, combien font le constat au quotidien de la souffrance et de la perte qualitative qu’occasionne le profit et ou la quête de profits ?
Il faut moraliser le capitalisme, hein ..! Et on peut écouter de belles paroles comme celle-là en boucle, et attendre bien longtemps sans que ça n’arrive jamais. Car nous seul, salarié-es, pouvons l’imposer !
Quels sont les options, quels sont les moyens ?
- Notre nombre ! Nous sommes 22 000 face à 1 seule direction générale. Si ne serait que 10% refuse
- Notre union ! Seuls rien n’est possible, mais unissons nos moyens et nos déterminations, participons aux actions collectives et vous verrez que la direction ce sera vous !
- Communiquons ensemble, communiquons plus fort ! En plus des salarié-es et syndicats beaucoup d’autres acteurs nous rejoindrons (Retraités et leurs proches, autres acteurs de la santé et du social, enfants et proches des salariés, les collectivités, les associations, des collectifs, etc.)
La mobilisation à l’appel du 22 juin est une première étape, participez-y comme vous le pouvez mais surtout n’attendez pas qu’il soit trop tard. Il y a mille et une façon d’agir, mais il suffit de ne rien faire pour être sûr de perdre.
Dés lundi 19 juin, devant l’Assemblée Nationale à 18h à Paris ou dans la plupart des grandes villes, à la même heure, des rassemblement sont organisés et vous êtes invités à y participer prés de chez vous. La liste d’un certain nombre de rendez-vous est ici.
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